Les histoires d’amour finissent toujours mal, ce n’est pas un point de vue, c’est un fait !
C’est encore dans une effusion de larmes que Marie Madeleine crache sa prose et dépose son coeur sur l’étal de la vie. Une explosion de mélancolie et de remords sur un beat toujours chaloupé, une basse entêtante et des synthés hypnotisant, car quand on est triste, le seul remède est de danser.
The End relate une rupture amoureuse, un ras le bol, une fin. Toujours pleine de dualité, toujours dans son style propre (Disco Wave) et bien sûr avec élégance Marie Madeleine nous prouve encore une fois qu’on peut briller et pleurer pour oublier ce monde qui va mal.